La dépression, un tabou intime, mal compris,mal perçu. Un monstre sans corps.
Après plusieurs épisodes successifs, dont celui que je traverse depuis l’été 2024, j’ai choisi d’évoquer cette maladie à travers le médium photographique.
La première partie est un préambule, un récit dans le récit, qui revient sur l’événement déclencheur de mon mal. Je me suis saisie de la photographie vernaculaire comme moyen de mettre à distance ce qu’il raconte.
La seconde évoque la dépression elle-même, la perte de soi et de sens, la pulsion de mort, mais aussi l’espoir d’un mieux.
Série en évolution et projet éditorial à venir.
Un Monstre sans corps
Extrait de la série :