Premier plan d'une femme avec les lèvres entrouvertes et les dents visibles, portant un tee-shirt beige avec des boutons, cheveux châtains clairs et bouclés, fond neutre.
La dépression, un tabou intime, mal compris,mal perçu. Un monstre sans corps.
Après plusieurs épisodes successifs, dont celui que je traverse depuis l’été 2024, j’ai choisi d’évoquer cette maladie à travers le médium photographique,
en cinq séquences de quatres images, articulées en deux parties.
La première est un préambule, un récit dans le récit, qui revient sur l’événement déclencheur de mon mal.
Je me suis saisie de la photographie vernaculaire comme moyen de mettre à distance ce qu’il raconte.
La seconde évoque la dépression elle-même, la perte de soi et de sens, la pulsion de mort, mais aussi
l’espoir d’un mieux.

Projet d'édition à venir.

Un Monstre sans corps

Une boîte contenant un texte écrit en français et une photographie en noir et blanc d'une femme, ainsi qu'une petite photo d'une personne avec un chapeau et une robe.

Extrait de la série :